Deoksugung palace, Seoul, novembre 2013
Impressions de Corée.
Il faut vraiment venir en automne. Il y a des ginkos dont les branches se couvrent de grappes de feuilles jaune, des érables aux feuilles étoilées rouge profond, les jardins des palaces sont magnifiques.
Côté nourriture, c'est boeuf (en barbecue ou bulgogi) et bibimbap. Miam.
L'autre visage de Seoul, c'est la pauvreté galopante avec des dizaines de sans abris nomades qui se regroupent dans des couloirs de métro, sous surveillance policière. C'est des chauffeurs de taxi qui refusent les étrangers. C'est le nationalisme forcené de tout un peuple qui maintient l'économie du marché intérieur, ne conçoit aucun compromis avec son voisin japonais (les torts sont partagés), et peine à s'ouvrir à la différence.
Il faut vraiment venir en automne. Il y a des ginkos dont les branches se couvrent de grappes de feuilles jaune, des érables aux feuilles étoilées rouge profond, les jardins des palaces sont magnifiques.
Côté nourriture, c'est boeuf (en barbecue ou bulgogi) et bibimbap. Miam.
L'autre visage de Seoul, c'est la pauvreté galopante avec des dizaines de sans abris nomades qui se regroupent dans des couloirs de métro, sous surveillance policière. C'est des chauffeurs de taxi qui refusent les étrangers. C'est le nationalisme forcené de tout un peuple qui maintient l'économie du marché intérieur, ne conçoit aucun compromis avec son voisin japonais (les torts sont partagés), et peine à s'ouvrir à la différence.
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